Le film traite de la métaphore de la peur, mais cache des nouvelles quotidiennes et anodines sur la vie de la population serbe au Kosovo. Le film s'inspire d'une lettre d'une jeune fille du Kosovo, dédiée à son père disparu, lue aux Nations unies, dans laquelle elle évoque publiquement la vie difficile des Serbes, en particulier des enfants serbes dans les enclaves.