Découvrir à 33 ans que l'on ne sait pas dessiner un clitoris quand on est féministe, c'est dur. Passé le choc, ça donne envie de comprendre et de s'engager. De comprendre pourquoi et comment l'école perpétue et lutte contre les stéréotypes de genre. Et de s'engager progressivement dans les nouveaux mouvements féministes. Mais est-on prêt.es à tout déconstruire et sauver les prochaines générations du patriarcat ?